Clowneries spontanées

Une clow­ne­rie, ce n’est pas n’importe quoi, mais quelque chose de très spécifique.

Il n’y a pas de mystère. Pour culti­ver l’âme et l’esprit du clown, il faut lâcher prise des diktats narra­tifs de l’improvisation théâ­trale et tout un tas d’ha­bi­tudes de comédien.

Pour­quoi ? Pour vous amener vers d’autres histoires. Pour toucher à la poésie. Pour être magni­fi­que­ment présent. L’art clow­nesque vous permet de saisir le sens immé­diat et tout en nuances.

Au lieu de vous perdre dans la chasse sans fin aux idées, étirez celle qui est déjà présente dans votre esprit.

Au lieu de passer trop rapi­de­ment à la chose suivante, explo­rez et jouez avec ce qui est déjà là. Avec ce qui est toujours là. Votre corps.

Comment ? Rien de plus simple : jouez avec ce que vous faites et avec ce que vous êtes – concrè­te­ment. Vous allez trou­ver votre chemin grâce à des concepts limpides et des consignes tech­niques simples.

Vos clow­ne­ries seront corpo­relles, vocales, verbales. Libres, surpre­nantes, denses. Drôles, touchantes, originales.